Peut-on imaginer la musique slave sans les cordes et les musiques populaires ? Laissons-nous emporter le temps d’une soirée, par ce mélange si particulier de gaieté, de mélancolie, voire de dramatisme qui nécessitent technique virtuose et beaucoup de sensibilité créative.
Antonìn Dvorak : sérénade pour cordes en mi majeur, OP. 22
Béla Bartok : divertimento pour cordes, SZ 113
Ludwig Van Beethoven : deux romances pour violon (transcrites pour violoncelle) en sol majeur, OP. 40, et en fa majeur, OP. 50